Quand on parle du directeur général de Timeko, on pense rapidement à un profil technique, stratège, peut-être un peu distant. Et pourtant, Jean-Eudes Lefébure casse complètement les codes. Son truc à lui, c’est l’humain. La vraie rencontre. Celle qui se fait sans CV, sans filtre, juste autour d’une conversation honnête.
Mais avant de diriger Timeko, Jean-Eudes a roulé sa bosse. Angleterre, Espagne, Brésil… des expériences à l’international qui l’ont profondément marqué. Il en a tiré une conviction simple : le management, c’est une question de culture et d’écoute. Pas de modèle unique, pas de recette magique. Il faut savoir s’adapter, observer, et surtout faire confiance.
Chez Timeko, il pilote une petite équipe soudée, volontaire, et pleine d’idées. On sent qu’il aime ça, bâtir avec les autres. Il le dit d’ailleurs sans détour : « Dans une petite entreprise, chaque personne compte. » On comprend vite que pour lui, diriger, ce n’est pas imposer, c’est embarquer.
Et côté outil, alors ? Timeko est une solution pensée pour faciliter la vie des recruteurs. Jean-Eudes la connaît de fond en comble. Il a d’abord été utilisateur, avant de prendre les rênes de la société. Autant dire qu’il a un regard très concret sur les enjeux. Le gain de temps, l’ergonomie, l’intégration avec les outils existants… Il sait ce qui fait la différence. Mais surtout, il reste attentif aux retours des utilisateurs. C’est leur feedback qui fait évoluer Timeko, pas une roadmap figée dans le marbre.
Ce qui frappe aussi, c’est sa manière de parler du recrutement. Pas comme d’un process, mais comme d’un vrai moment de rencontre. Il se méfie des entretiens trop cadrés, préfère les échanges naturels. Il arrive même qu’un entretien se termine par un simple : « Bon, on commence quand ? » C’est ça, un bon recrutement pour lui. Un alignement, presque instinctif.
Et puis il y a son regard sur la marque employeur. Là aussi, pas de poudre aux yeux. Pas besoin de babyfoot ou de toboggan dans les locaux. Ce qui compte, c’est de donner du sens. De la clarté. Quelle est la mission ? À quoi va ressembler le quotidien ? Avec qui va-t-on travailler ? Ce sont ces questions, simples mais fondamentales, que se posent les candidats aujourd’hui. Et il a bien raison.
Être directeur général de Timeko, c’est donc bien plus que tenir la barre. C’est créer une culture, une dynamique, une énergie. C’est écouter, ajuster, inspirer. Et à l’entendre parler de ses équipes, de ses clients, de ce qu’il reste à construire… on sent qu’il est exactement là où il doit être.
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